• That's Okay, that's Love - Drama Coréen 2014

    That's Okay, it's Love

    That's Okay, it's Love
    괜찮아, 사랑이야
    Corée du Sud
    Diffusion : 23Juillet 2014 - 11 septembre 2014
    Chaine : SBS, Viki, Netflix,
    Genre : Comédie, Médical, Psychologique, Romance,
    16 Episodes60 min
    Zo In Sung, Gong Hyo Jin, Sung Dong Il, Lee Kwang Soo, Jin Kyung,  Lee Sung Kyung, Kim Mi Kyung, Jang Ki Yong, Cha Hwa Yun,
    Résumé :
    Jang Jae Yeol est un auteur et DJ radio souffrant de troubles obsessionnels compulsifs. À l'occasion d'un débat télévisé, il fera la rencontre de Ji Hae Su, psychiatre en première année d'internat à l'hôpital universitaire, celle-ci ayant choisi la psychiatrie car ne souhaitant pas avoir à effectuer d'interventions chirurgicales.

    Après sa rencontre avec Jae Yeol, la vie de Hae Su connaîtra alors de grands changements et à la suite de diverses circonstances, tous deux se retrouvent à vivre ensemble...

    Avis Team

    L'avis de Plume
    Un drama qui me faisait de l'oeil depuis longtemps. Au final, j'ai passé un bon moment, mais pas inoubliable. J'ai aimé l'histoire, le casting, mais les trucs médicaux et psy sont un peu tirés par les cheveux. J'ai particulièrement apprécié la colocation, pleine d'amour et de tolérance.
    Note : 07/10
    Vu : 16/16

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  • Commentaires

    1
    Lundi 20 Juillet 2020 à 15:59

    Un gros coup de cœur pour ce drama ! D'excellents acteurs et des personnages très touchants !

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    2
    sooki
    Dimanche 6 Décembre 2020 à 16:21

    Un scénario astucieusement distrayant sur un thème émouvant qui cumule à dessein les bizarreries.

    Invités à un «talk-show», les deux protagonistes centraux évoquent l’influence négative sur les lecteurs des romans malsains, scène intéressante qui donne lieu à une rhétorique ironiquement délirante de la mignonne psychiatre sur la généralité « comme cela a été démontré dans le public, à cause de la bonté innée... » tandis que l’accort écrivain énonce ultérieurement une étrange association avec l’hormone liée à l’accouchement et sécrétion lactée.

    Après la course-poursuite en voiture, la prétendue psy parle au malade épinglé comme si elle s’adressait à un animal, les scènes à l’hôpital relevant de la fantaisie quelque peu insipide.

    D’un côté psychiatres foutraques et patients ad hoc, de l’autre un personnage singulier qui oscille entre fulgurances d’intelligence et fabulations chimériques, et en prime un individu en détention hallucinant (mon préféré).

    J’ai apprécié ce scénario bien agencé doté d’un suspense très habile lié à la thématique de violence familiale sans camper dans le larmoyant, mis en scène avec réalisation adéquate.

    L’association des personnages caricaturaux excellemment assumés par les acteurs suscite un intérêt accrocheur, fascinante performance. Les dialogues sont percutants d’autant que sciemment à l’encontre des stéréotypes classiques (à l’exception des scènes à l’hôpital).          

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